À la base, cela vient de mon arrêt de pilule, il y a trois ans. À l’époque et toujours aujourd’hui, j’avais la volonté de passer au naturel. Et à la suite de cet arrêt de pilule, j’ai connu un « effet de rebond ». Il m’a provoqué de l’acné de partout, j’ai perdu mes cheveux pendant plusieurs mois, et ma pilosité corporelle a énormément augmenté. Que des réjouissances, quoi. Je ne trouvais alors aucune solution de la part de mes gynécos et de mes médecins, mis à part quand on me disait : « bah, pourquoi vous ne reprenez pas la pilule ? ».
Donc, je me suis réfugiée sur des groupes Facebook. Et je me suis rendu compte qu’on était des milliers à le faire, voire plus, que ce soit pour des problématiques d’arrêt de pilule ou pour tous les problèmes gynécologiques. Toutes ces femmes se donnaient des « recettes de grand-mère ». Du genre, « as-tu testé tel complément alimentaire ? », affirmant : « les plantes, c’est anodin, teste, tu ne risques rien ». Et en fait, c’est faux. Et c’est même dangereux. Parce que les plantes, ce n’est pas anodin du tout : on peut tout à fait se surdoser. Du coup, je me suis dit qu’il y avait un réel manque de sureté, et surtout une forte demande d’alternatives naturelles.