Étiquette : femmes
Jusqu’ici, The North Face a déjà effectué cinq actions différentes afin de soutenir l’insertion professionnelle des femmes dans le milieu sportif outdoor.
Reset, Women’s Mountain Club, Facets, Women Team Kit, International Women’s Day… voici les noms des cinq initiatives que The North Face effectue dans le cadre de son soutien de l’insertion des femmes dans le sport. Selon la marque, « si le sport est l’un des principaux moteurs d’égalité des sexes, le parcours reste encore long et semé d’embûches pour atteindre la parité. Inégalité salariale, sous-représentation médiatique, harcèlement moral et physique, manque d’investissements, de nombreux combats restent à mener ! C’est dans ce cadre social et éthique que la marque The North Face s’engage auprès des femmes et des athlètes féminines.«
Reset Normal
En octobre, The North Face avait lancé Reset Normal, une initiative mondiale encourageant chacun à repenser sa vie et à davantage explorer. Et pour allier l’action à la parole, la marque a fait un don de sept millions de dollars à plusieurs associations et créé l’Explore Found Council, une bourse mondiale réunissant de nombreux experts, « afin de développer des idées et solutions potentielles pour soutenir l’accès à l’exploration. » Le but final ? « Ouvrir le milieu de l’outdoor au plus grand nombre, et lutter contre les inégalités.«

Women’s Mountain Club
Plus ou moins dans le même cadre que le Reset Normal, The North Face a décidé d’encourager le Women’s Mountain Club de Chamonix, en mai dernier. Et quoi de mieux qu’un don financier ? En plus d’aider l’association à faire face à la crise sanitaire, c’est l’un des meilleurs moyens d’encourager les femmes à persévérer dans leurs performances outdoor.
Facets
Ce 24 novembre 2020, The North Face a sorti un court-métrage nommé Facets. Il met en scène cinq femmes différentes, passionnées de sport. Elles nous racontent leur histoire, leurs difficultés, leurs réussites. « Je voulais donner [aux femmes l’exemple] que je n’avais pas« , explique l’une d’elles. Et si vous la regardez, je suis presque sûre que cette vidéo vous inspirera, et vous donnera, à vous aussi, l’envie d’être passionnée de sports outdoor.
Women Team Kit
Après des dons et un court-métrage, qui aident – petit à petit – à changer la conscience collective, il fallait que cette marque reconnue pour ses vêtements de sport, en sorte. Et, s’il vous plaît !, des pièces adaptées à 100 % aux femmes. Et c’est exactement le cas de Women Team Kit. Une collection « conçue par des femmes, pour les femmes ». De quoi offrir confort et style audacieux à toutes les passionnées.
International Women’s Day
Et à ce propos, une collection spéciale pour la Journée internationale des droits des femme a également été créée. Elle aussi, imaginée à 100 % par des femmes.
Vous aussi, vous avez une soudaine envie de braver la poudreuse ?
Article de Clémence Bouquerod
Les règles, depuis l’adolescence, elles nous emmerdent. Qu’on se le dise, c’est naturel mais c’est une période difficile à gérer, avec des douleurs parfois qui sont incontrôlables, des émotions en bataille et des pulsions ingérables. Pourtant, chaque mois, notre corps signe à nouveau pendant plusieurs jours. Pas de panique, on a 5 conseils pour vous aider à mieux vivre vos règles, ou potentiellement, les remettre à leur place (dans votre culotte de règles).

On mise tout sur le confort.
La montée en puissance des culottes menstruelles est justifiée, grâce à elles, exit les tampons ou les serviettes désagréables à porter. Les culottes Fempo, né d’un mouvement d’Empowerment pour les femmes, par Claudette et Fanny, sont une révolution. Pourquoi sont-elles si confortables ? Elles laissent respirer la peau, elles sont ultra absorbantes, anti-bactériennes et anti-odeurs. Autant dire anti prises de tête… Un bonheur en toutes circonstances, le jour, la nuit, au sport, en travaillant. On ne les quitte plus ! À deux doigts de les porter sans avoir ses règles, les Paulette ne peuvent plus se passer de ces dessous mariant confort et confiance en soi. Une solution plus économique et plus responsable, la culotte menstruelle peut se porter jusqu’à 12 heures sans la moindre fuite ou odeur. Un must-have pour nous depuis un moment déjà, la rédac’ compte bien opter pour le modèle de culotte taille haute noire récemment lancé par Fempo ou encore pour la classique désormais déclinée en divers coloris.
Adapter son alimentation pendant cette période
Certains fruits et légumes permettent de mieux vivre ses règles, en aidant contre les crampes ou les sensations de ballonnement par exemple. On opte pour des aliments riches en fer, les lentilles sont une bonne option mais plus largement, toutes les légumineuses. Tous les légumes verts comme les courgettes, les épinards, le chou sont riches en fer aussi et vitamines, très bénéfiques pour l’organisme. On pique quelques noix pour les oméga-3. Parfois, on ressent un inconfort digestif pendant ses règles donc les fruits peuvent diminuer ces troubles. Le chocolat noir, riche en magnésium, peut réduire l’inflammation du corps. Et pour finir, toutes les céréales complètes sont bonnes à manger. On évite des plats trop salés, gras ou sucrés, une surconsommation de café, de thé ou de sodas. En résumé, de bonnes choses pour son corps et pour se sentir à son aise.
Boire de l’eau, tout au long de son cycle
C’est contradictoire mais pendant les règles, on a fréquemment une sensation de ballonnement et donc, on oublie de boire. Et pourtant, il est prouvé que boire beaucoup d’eau pendant les règles permet de s’hydrater (forcément) et de se drainer, contre la rétention d’eau justement. Pour celles qui ont du mal à boire, la technique de la gourde dans la journée est une bonne option : on se fixe l’objectif de la boire deux fois dans la journée, avec de l’eau filtrée, ou de la tisane apaisante, mais rien d’autre. L’eau, c’est la vie, surtout si vous êtes devant un ordinateur toute la journée. Ça assèche bien plus que ce que l’on pense.

Faire du sport, à son rythme
On a entendu tout et son contraire mais le sport, pendant les règles, même si parfois la motivation n’est pas là, s’avère être super efficace pour soulager les crampes ou les douleurs de règles. Bien sûr, si les syndromes menstruels sont trop intenses, difficile de bouger. Mais si vous en avez le courage, une pratique de yoga adaptée, de pilates, de léger cardio ou simplement des étirements peuvent vous faire le plus grand bien. Et après, en option si vous avez, un bain chaud. Objectif détente assuré, et c’est tout ce qu’il y a de mieux pour votre corps et votre esprit !
Faire l’amour ou se masturber
Alors là, vous allez me prendre pour une folle mais c’est encore une fois prouvé… Faire l’amour pendant ses règles soulage et aide à décontracter et décongestionner, donc à réduire les tensions, libérer des fluides, détendre le sexe et donc le corps. En bonus, un lubrifiant naturel – je plaisante (ou pas). Et pour les célibataires, si l’envie est là, se masturber peut avoir des effets immédiats sur la douleur des règles, évader l’esprit, libérer des hormones de plaisir et donc, s’auto libérer. En un mot, on valide tout plaisir.

Pour plus d’informations sur les culottes menstruelles, consultez Fempo.co
Si les femmes peinent à prendre leur place en politique, les élections municipales de cette année 2020 se sont avérées prometteuses. Des candidates certes, qui aujourd’hui ont été élues maires de grandes villes françaises.

Cette année, l’enjeu était de taille. 20 ans après l’adoption de la loi sur la parité en politique, seulement 17 % des maires sont des femmes. Comme expliqué dans l’émission Hashtag de France Culture intitulé « Il y a plus de femmes mères que de femmes maires« , la parité a été assimilée et contrôlée pour ce qui est de la constitution du conseil municipal. Ce qui n’est pas le cas pour le poste de maire.
Petit point sur ces premières femmes maires
Retour en 1945 alors que la France sort à peine de la Seconde Guerre mondiale. Les femmes obtiennent le droit de vote, mais aussi de se présenter aux élections. Candidates et électrices se mobilisent massivement dans les élections municipales qui se profilent. Les hommes manquent à l’appel et pour cause, ces derniers ne sont pas encore rentrés de la guerre ou sont encore détenus prisonniers.
Le nombre de femmes élues à cette époque reste inconnu. En effet, ce n’est qu’en 1947 que les statistiques du ministère de l’Intérieur prennent en compte ce nombre. Pourtant, lors des élections municipales de 1945, fait historique, la participation des femmes est, dans certaines villes, aussi importante que celle des hommes. Ça ne sera malheureusement plus jamais le cas. Mais on retiendra leurs noms grâce à divers articles d’archives : Odette Roux (Sables-d’Olonne), Célina Roye (Saint-Omer, Pas-de-Calais) et pour finir Madeleine Ainoc à Echigey dans le Côte-D’Or, où le conseil municipal se composait exclusivement de femmes !
2020, place aux femmes pour le monde d’après ?
Pour les élections municipales de 2020, 23 % des femmes étaient tête de liste. Si le pourcentage reste encore faible, il progresse néanmoins, comparé aux 17 % de 2014. Aucun hasard lorsqu’on entend partout que les Verts ont aussi fait de gros résultats puisque ce sont eux qui ont présenté le plus de femmes tête de liste. 39 % donc chez Europe Écologie Les Verts, suivi de près par les Insoumis (37 %) puis le parti communiste (31 %).
Si après le confinement, on espérait tous un monde d’après plus prometteur, on peut déjà se féliciter de ces deux avancées – tant sur le plan de l’écologie que de l’égalité des genres. Car aujourd’hui, cinq des dix plus grandes villes de France ont élu des femmes. Paris, Marseille, Strasbourg, Lille et Nantes, mais aussi tant d’autres villes qui se féminisent petit à petit.
Un petit espoir de plus pour construire ce monde d’après aussi inclusif, égalitaire et écologique que possible !
Article de Nina Hossein
Si nos bleues ont popularisé le football féminin l’année dernière lors de la Coupe du Monde, le chemin est encore long pour que tout le monde puisse pratiquer ce sport équitablement. Pour avoir leur place sur le terrain, les femmes voilées montent ensemble le collectif Les Hijabeuses.

En 2014, la Fédération internationale de Football approuvait le port du voile sur le terrain et durant les matchs. Surprenant. Oui c’est le mot puisqu’il ne nous ait jamais arrivé de voir une femme voilée durant un match en France. C’est la conséquence d’une politique sportive répressive qui interdit aux femmes portant le hijab de participer aux compétitions. Un système qu’aujourd’hui le collectif Les Hijabeuses souhaite dénoncer.
Clamer les droits et les libertés des femmes musulmanes dans une tribune
Le constat est donc le suivant : la Fédération française de Football (FFF) empêche les femmes voilées de participer aux matchs de football. Selon elle, c’est contraire au principe de laïcité, puisque les règles du jeu « ne permettent pas le port, par les joueurs/joueuses de signes ou tenues manifestant ostensiblement une appartenance politique, philosophique, religieuse ou syndicale ».
Pourtant, c’est bien une politique discriminante que choisit ostensiblement la FFF. Pour répondre de cela, Hayat, Founé et toutes les autres ont écrit une tribune intitulée « Notre sport favori, Mon hijab, Notre liberté à toutes ». Cette tribune c’est un moyen pour elle de dénoncer ces exclusions qu’elles subissent en tant que musulmanes. « À chaque fois que je suis convoquée aux matchs, j’ai la boule au ventre et j’appréhende la réaction des arbitres. Est-ce je vais pouvoir jouer ? Est-ce qu’on va encore me renvoyer au vestiaire parce que j’ai un turban sur la tête ? » témoigne Fadwa, une des joueuses. Toutes s’organisent alors autour du collectif Les Hijabeuses pour clamer leurs droits et libertés !
Rendez-vous sur le terrain pour dénoncer ces pratiques
Après ces quelques mois confiné.es à réfléchir, Les Hijabeuses se sont organisées au sein du syndicat des femmes musulmanes de l’Alliance Citoyenne. Avec le retour à l’à peu près normal, les entraînements et les matchs se planifient. Le collectif nous a alors donné rendez-vous sur le terrain Bir-Hakem ce vendredi 19 juin.
La journée a débuté avec une démonstration de freestyle par Hayat BMK, suivie d’un match avec 11 de nos hijabeuses. Pour finir, le collectif s’est regroupé pour la lecture en public de la tribune. L’objectif : interpeller la FFF pour qu’elle change ses pratiques et organiser une série de matchs publics afin de rendre compte de leur situation.
Rendez-vous sur leur compte Instagram pour leur apporter votre soutien et venir les soutenir en match.
Article de Nina Hossein.
Le clitoris, ce grand oublié des manuels scolaires et des cours d’éducation sexuelle connaît enfin son heure de gloire. Oui, cet unique organe du plaisir n’est bientôt plus laissé pour compte grâce à Mon nom est clitoris. Ce documentaire-dialogue sort le 17 juin et compte bien briser les tabous et libérer la sexualité féminine !

On l’attendait, deux femmes l’ont fait. Lisa Billuart-Monet et Daphné Leblond ont réalisé un documentaire éclairant et éclairé sur notre cher organe du plaisir. Mon nom est clitoris dresse le portrait d’une époque un peu bancale, qui s’alimente de traditions oppressives tout en imposant l’injonction à jouir. Oui, on l’a toute entendue cette fameuse phrase « et toi, t’as joui ? » qui nous a mis mal à l’aise plus d’une fois. Alors il est temps, même grand temps, de briser les tabous et de libérer enfin la sexualité féminine !
Un documentaire-dialogue autour de douze femmes et leur rapport à la sexualité
Ce documentaire est un hommage, ou plutôt un « femmage » comme on peut le lire depuis peu. Un moyen pour nos deux réalisatrices de montrer au grand jour le combat de femmes qui oeuvrent afin de changer les mentalités sur la sexualité féminine.
Mon nom est clitoris, c’est la rencontre de douze femmes âgées de 20 à 25 ans. Dans chacun des portraits, toutes racontent librement des anecdotes. Elles s’expriment sans crainte sur ce tabou qu’est le plaisir féminin. Peu à peu, la vérité se dresse comme une évidence : nous, femmes, avons manqué d’informations et d’éclaircissements sur notre organe sexuel absent de tous manuels scolaires. Et ces « omissions » ne sont rien d’autre que le résultat d’une société basée sur le patriarcat, qui impacte encore aujourd’hui les femmes dans leurs relations au corps et à la sexualité. Fort heureusement, ce documentaire entend bien bousculer les codes et changer les mentalités !
Où et quand retrouver ce documentaire au cinéma ?
Oui, la période post-confinement nous laisse encore dans le flou sur les possibles sorties cinéma. Mais pas de panique, une salle virtuelle, la 25ème heure, a su profiter de l’épidémie pour faire son apparition. Du e-cinéma comme si on y était : une séance programmée, un billet d’entrée et vous voilà installée confortablement dans votre lit, avec du pop-corn fait maison à volonté.
Pour découvrir au plus vite le documentaire, rendez-vous le 17 juin. Mon nom est clitoris est là pour informer au mieux et rendre compte de la sexualité féminine. Les deux réalisatrices nous poussent à la réflexion et à ré-envisager notre rapport au corps et à celui de l’autre !
Article de Nina Hossein
Desigual lance sa nouvelle collection capsule signée Miranda Makaroff. Une ligne de vêtements qui se veut pleine d’énergie. Cette capsule artistique célèbre aussi et surtout la liberté. De la vitalité, de la couleur et du pep’s, voilà enfin ce qu’on attendait tous !

Vivre le printemps confiné n’a pas été chose facile. Encore plus avec le soleil qui ne nous quitte pas. Mais Desigual a décidé de faire débuter la saison maintenant. Le moyen parfait pour célébrer notre liberté retrouvée avec une collection capsule haute en couleur. La marque opte également pour des tissus durables. Jupes-culottes, tops ou vestes en coton bio et tissu EcoVero, nos corps sauront adopter cette nouvelle ligne de vêtements écoresponsables.
L’histoire des femmes sous toutes les coutures
Tout droit sortie de l’imaginaire de l’artiste espagnole Miranda Makaroff, cette collaboration raconte une histoire. Celle des femmes et de leurs libertés. L’illustratrice a fait le choix de célébrer la liberté sexuelle, amoureuse, de mouvement et d’expression.

Cette collection capsule inédite arbore un style rétro. Plongée dans les années 70, Miranda Makaroff rend hommage à Ève, une figure féminine libre à l’amour infini du plaisir. Des femmes qui s’entrelacent avec la nature sur des images d’orgies et des collages de symboles sexuels déstructurés, voilà les imprimés à retrouver dans la nouvelle collection printemps-été Desigual. Des vêtements pour prôner son féminisme et sa liberté sous toutes les coutures !
Retrouvez dès à présent cette collection inédite sur l’e-shop.
Article de Nina Hossein
La journée de télétravail s’achète et on a qu’une envie : s’installer confortablement devant une bonne série. Reste la sempiternelle question : quelle série ? On oublie la casa de papel et Stranger Things. A la place, on opte pour des productions dans lesquelles les héroïnes féminines crèvent l’écran ! Que les Paulette audacieuses se rassurent, à la rédaction on a concocté une joyeuse sélection de réalisations women friendly…
Envie d’histoire vraie ? La série dramatique Mrs America
Sous la houlette de la scénariste Dahvi Waller, Mrs America se dresse comme une plongée dans les années 1970, et l’impitoyable conquête pour les droits des femmes.
La figure de proue : Cate Blanchett. Dénommée Phyllis Schafly dans la fiction, elle porte la casquette de la femme cristallisée dans un modèle conservateur et anti-féministe.
Éminemment réaliste, vintage et harmonieuse, la création à de quoi séduire les cinéphiles en herbe !
Envie de frissons ? La série thriller Queen Sono
La plateforme Netflix ne cesse de se diversifier et laisse pour la première fois place à une réalisation africaine : Queen Sono.
En tête d’affiche : Pearl Thusi, devenue Queen Sono. L’héroïne prend les traits d’un agent secret aux missions trépidantes et à l’objectif unique : sauver la vie des citoyens de sa contrée.
Les ingrédients du succès ? Une immersion esthétique et solaire en plein cœur de l’Afrique du Sud, et un scénario bien ciselé entre aventure, suspens et émotions fortes.
Envie de rigoler ? La série comique Why Women Kill
Il avait fait naître les cultissimes personnages des Desperate Housewives : Marc Cherry revient en force avec un thriller domestique, et on adore !
Sans spoiler, une maison de Pasadena devient le théâtre du destin semé d’embûches de trois femmes, insérées dans trois époques différentes. Leur point commun ? Les infidélités de leur mari !
Une bonne dose d’humour noir, une pincée de sarcasme et des personnages hauts en couleur : la recette parfaite pour passer une soirée riche en fous rires.
De quoi se faire une bonne séance de binge-watching 100% féminine !